Des personnalités congolaises victimes d'une campagne visant à ternir leur image (communiqué)

<em>Communiqué.</em>

<span style="line-height: inherit;">Les Universités en Amérique, en Europe, comme partout dans le monde, admissent des personnalités qui, en dehors de leurs responsabilités, souhaitent accroître leurs connaissances en s'inscrivant en bonne et due forme. Et ces personnalités bénéficient souvent d’un programme d'enseignement différent de celui d’autres étudiants à cause des occupations professionnelles.</span>

L’Université Protestante au Congo (UPC) qui est l'une des Institutions de renom dans le pays compte en son sein de nombreuses personnalités qui, après s’être inscrites de manière légale, étudient en se conformant aux règles établies. Cependant, depuis un moment, ces personnalités font l’objet d’un acharnement médiatique sans précédent. Celui-ci se fait remarquer à travers une campagne calomnieuse selon laquelle ces personnalités jouissent d’un traitement favorable de la part des universités dans lesquelles elles poursuivent leurs études. Pourtant ce n'est pas du tout le cas.

La presse nationale est appelée à ne pas relayer ce genre de campagne. Elle est invitée à creuser davantage pour comprendre le fait tel qu'il se présente au lieu d’élaborer des récits calomnieux qui n'honorent pas la profession. A titre d’exemple, le cas de la brillante présidente de la Jeunesse Africaine Francine Muyumba. Cette dernière, licenciée en Communication à l'Université de Namibie, est aussi passionnée de droit. Récemment au magazine MEMENTO,

Francine Muyumba a déclaré qu'en s'inscrivant à l'Université de Namibie, son souhait était de faire le droit. Malheureusement le droit pratiqué en Namibie n'est pas celui pratiqué en RDC. En Namibie le droit enseigné et pratiqué fait partie de la famille common law tandis qu'en RDC le droit enseigné et pratiqué fait partie de la famille Germano.

Francine Muyumba présidente de l'UPJ est le symbole de la réussite d'une nouvelle génération. Elle encourage la jeunesse à accroître ses capacités intellectuelles. C’est une citoyenne patriote de premier rang que nul n'ignore. Cette compatriote fait l'honneur de la Nation et celui de toute l'Afrique. Non seulement dans le leadership de la jeunesse mais aussi de la femme africaine. Elle mérite plus que les encouragement de tous. La société doit encourager les personnalités qui ont le courage de regagner les Institutions académiques afin d'accroître leurs compétences pouvant les aider à améliorer leur façon de faire les choses et comprendre les enjeux du développement.

Celle qui vient d'être classée par la Mipad récemment dans le rang des 100 personnalités influentes du monde de la descendance africaine, fait la fierté de toute une Nation et plusieurs jeunes, particulièrement les filles du pays, ne cessent de s'inspirer d'elle.

Son influence est visiblement loin de satisfaire ceux qui jusqu'ici en RDC n'avaient pas de vision ni d’ambitions au profit de la jeunesse jusqu'à la venue de celle qui à ce jour, au détriment des non-voyants forcés, est devenue l’icône d'une jeunesse debout.

Consciencieuse et surtout ambitieuse, en Afrique comme dans le monde, elle fait parler d'elle à travers les Institutions internationales dont les Nations-Unies où au plus haut Sommet du monde elle mène un plaidoyer au profit de la jeunesse. Ses récentes prestations lors de la dernière Assemblée générale des Nations Unies en présence des leaders du monde, a encore prouvé ses capacités surtout intellectuelles fruits et preuves des études en droit de l'Université protestante au Congo où elle bénéficie d'un enseignement efficace et qui contribue énormément au travail qu'elle mène à travers le Monde.

Son travail déjà lui permet de faire la pratique de ce qu'elle apprend à l'Université Protestante au Congo en droit international publique. Une opportunité que plusieurs étudiants n'ont pas eue. Elle pratique déjà le droit international au plus haut-niveau dans les organisations Internationales. Son passage dans les auditoires de l'Université ne pourra que compléter la théorie car elle acquiert déjà une maîtrise à un niveau plus élevé du droit international.

En s'inscrivant en 2012 dans la faculté de droit à l'Université Protestante au Congo avant même de devenir présidente de l'UPJ, fonction qu'elle occupe depuis fin 2014, l'objectif poursuivi était tout d'abord d'accomplir sa passion pour le droit et accroître ses connaissances afin de se distinguer dans sa vision sur les questions des jeunes au service de sa Nation, y compris de l’Afrique, son Continent.

Ceci non seulement pour ajouter un plus sur ses connaissances de la notion de droit qui fait partie de notre quotidien aujourd'hui, mais surtout parce que le droit a toujours été depuis son enfance, sa préférence de part son souci de défendre les autres tout en considérant qu'il faut avoir la maîtrise du droit pour défendre car faute de compréhension en droit le plaidoyer devient moins efficace.

Inscrite en bonne et due forme à l'Université Protestante au Congo qui est l'un des meilleurs établissements de l'enseignement supérieur et universitaire en RDC, la présidente de l'UPJ se conforme aux règles établies sans, en aucune manière, chercher à obtenir des privilèges. Plusieurs de ses enseignants le témoignent, mais aussi ses camarades de classe avec qui, malgré son rang, elle entretient de très bonnes relations loin de prêter attention à son train de vie.

vu son rang et ses différentes occupations, elle trouve toujours le temps de remplir ses différentes tâches d'étudiante. Pourtant cela est possible et c'est ce qu'elle arrive à faire et de la plus belle des manières bien que n'étant pas génie.

Le recteur de l’UPC a fait preuve de bonne gestion depuis plusieurs années à la tête de cette institution en menant un travail de qualité. Mais les assoiffés du pouvoir qui du reste sont excités par l'envie de prendre sa place ont opté pour des faux-fuyant en s'affichant sur des noms connus de la plupart des personnalités politiques et apolitiques.

Interrogés sur cette affaire, les étudiants de l'UPC qualifient ces personnes d’inciviques visant à décrédibiliser leur Institution.

Ils ont dénoncé avec la dernière énergie les attaques inacceptables et non-fondées de certaines personnes qui utilisent des journalistes de la ville de Kinshasa pour parvenir à leur soif, pourtant cette façon de faire de ces bourreaux, va à l'encontre des principes des bases du journalisme. Ceci va en violation de l'éthique et déontologie. Une triste réalité qui sape le grand travail exécuté par les journalistes professionnels de ce grand pays qu'est la RDC.

Ainsi pour ce faire, ces étudiants ont tenu à informer l'opinion nationale et internationale que leur Université comme toutes les autres université ne permettront jamais à ce que les personnes mal intentionnées puissent nuire à leur réputation.

Ils dénoncent ce qu'ils qualifient de magouilles et mettent en garde ces sources du mal qui visent à décrédibiliser l'UPC car leur avenir en dépend. Ils saluent et encouragent la présidente de l'UPJ pour les efforts qu'elle fournit pour ses études de droit à l'UPC depuis 2012 car malgré ces lourdes tâches, elle arrive à accomplir ces obligations estudiantines et ceci est prouvé car régulièrement elle est aperçue sur le site universitaire toute humble avec ces camarades étudiants en classe tout comme dans les corridors de l'Université.

Ils témoignent que les capacités intellectuelles de leur camarade de classe Francine Muyumba pendant les débats surtout de droit les épatent. Elle prend toujours le devant dans des groupes des séminaires pour présenter au nom de ces camarades étudiants et ne manque à recevoir des cours d'encadrement par différents assistants de sa faculté de droit.

“Nous protégerons l'image de notre institution surtout les choses correctes et non les mensonges car l'image de l'institution détermine la crédibilité de nos diplômes et surtout de notre avenir”, soutiennent ces étudiants.