C’est peut-être le rendez-vous incontournable du mois d’octobre à Kinshasa : un festival qui met en valeur un instrument de musique qui plus est “le plus complet”.
C’est peut-être le rendez-vous incontournable du mois d’octobre à Kinshasa : un festival qui met en valeur un instrument de musique qui plus est “le plus complet”.
Mis à part ses 4 langues nationales et plus de 340 dialectes, la RDC demeure un pays majoritairement francophone.
Même si cette qualification manque de plus en plus d’adeptes, il y en qui croient à “Kin la belle”.
Et si les morts ne mouraient plus ? Les morts du mensonge, les morts de l'égoïsme, les morts victimes du système dictatorial, les morts des manœuvres politiques.
Ils étaient une cinquantaine à se mettre dans le sens de l’aventure de la première édition du festival vocal.
Le danseur et chorégraphe Jackson Lohanga a lancé un projet révolutionnaire en RDC : "Bouger pour changer".
La question de la restitution des œuvres de la RDC spoliées par le colonisateur belge il y a plus de 100 ans reste d’actualité.
Installé à Kinshasa depuis 2018, dans l’enceinte du ministère des affaires étrangères, l’Institut Confucius de l'Académie Diplomatique Congolaise existe depuis une demi décennie.