La 10ème édition du Festival International de Cinéma de Kinshasa (Fickin) ne se contente pas de célébrer le 7e art, elle s'engage également dans la voie de l'industrialisation du cinéma en Républiq
La 10ème édition du Festival International de Cinéma de Kinshasa (Fickin) ne se contente pas de célébrer le 7e art, elle s'engage également dans la voie de l'industrialisation du cinéma en Républiq
Parmi les lieux culturels de la ville de la capitale congolaise, l’Institut Français de Kinshasa fait figure inévitable où l’art vit et se vit.
C’est peut-être le rendez-vous incontournable du mois d’octobre à Kinshasa : un festival qui met en valeur un instrument de musique qui plus est “le plus complet”.
Mis à part ses 4 langues nationales et plus de 340 dialectes, la RDC demeure un pays majoritairement francophone.
Même si cette qualification manque de plus en plus d’adeptes, il y en qui croient à “Kin la belle”.
Et si les morts ne mouraient plus ? Les morts du mensonge, les morts de l'égoïsme, les morts victimes du système dictatorial, les morts des manœuvres politiques.
Ils étaient une cinquantaine à se mettre dans le sens de l’aventure de la première édition du festival vocal.
Le danseur et chorégraphe Jackson Lohanga a lancé un projet révolutionnaire en RDC : "Bouger pour changer".