Communiqué du PARRSA sur la mission de supervision du projet à Kinshasa

Logo du Projet d'appui à la réhabilitation et à la relance du secteur agricole (PARRSA)

COMMUNIQUE DE PRESSE

Kinshasa, RDC, le 30 novembre 2018---L’Unité Nationale de Coordination du Projet d’Appui à la Réhabilitation et à la Relance du Secteur Agricole- Financement Additionnel (PARRSA-FA) et le groupe de la Banque mondiale en mission de supervision à Kinshasa.

L’Unité Nationale de Coordination du Projet d’Appui à la Réhabilitation et à la Relance du Secteur Agricole- Financement Additionnel (PARRSA-FA) et le Groupe de la Banque mondiale effectueront du 01au 08 décembre 2018 une mission  de supervision du projet à Kinshasa.

L’objectif de la mission est entre autres de faire le point sur les activités en cours d’élaboration et de discuter avec les partenaires techniques et financiers  

 

Conduite par la Chargée de projet, Mme Nora KAOUES et le Co-Chargé du Projet, M. Omar LYASSE, la délégation rencontrera les autorités ministérielles ainsi que les différents partenaires de mise en œuvre du projet.

 

A l’issue de la mission, la délégation produira un aide-mémoire reprenant les principales conclusions de la mission.

 

Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo a reçu un crédit d’un montant de 75 millions de dollars de l’Association Internationale de Développement (IDA) au titre de financement additionnel du Projet d’Appui à la Réhabilitation et à la Relance du Secteur Agricole (crédit 5980-ZR) et d’un don (Don TF0A4870) de l’Initiative pour les Forêts d’Afrique Centrale (CAFI) d’un montant de 3,64 millions de dollars américains pour accroître la contribution du projet à la réduction ou mitigation de la déforestation et dégradation des forêts.

L’objectif de développement du financement additionnel du PARRSA est d’augmenter la productivité agricole et améliorer la commercialisation des productions végétales et animales dans les zones ciblées. 

 

Le financement additionnel du PARRSA comprend trois composantes :

  • Amélioration de la production agricole et animale (y compris l’introduction des cultures pérennes telles que le café et le cacao, etc.)
  • Amélioration des infrastructures de commercialisation
  • Renforcement des capacités des Ministères en charge de l’Agriculture, Pêche et Elevage et du Développement Rural ainsi que des services d’appui et de gestion du personnel.